The progressive US group Jewish Voice for Peace (JVP) has stressed that Israel, which has been besieging Gaza, is responsible for hunger in the territory.
“Palestinians in Gaza are not starving, they are BEING starved. By the Israeli military,” JVP said in a social media post.
En primer lloc, a #Palestina (@palestine) –anomenada pel #sionisme#Israel (una entelèquia materialitzada a la força en estat)– no hi ha cap guerra. Hi ha un nou episodi del projecte colonitzador que preveu la substitució social, bé aplicant apartheid, bé aplicant genocidi, bé aplicant desplaçaments forçats, i tot combinat amb diversos mecanismes opressors de menor intensitat.
I, en cap cas, no es pot equiparar #Hamas a Israel.
Hamas is a popular resistance movement, whether we like it or not. Destroying Hamas", as Biden or Netanyahu claim they intend to do, can only mean destroying the Palestinian resistance, destroying the Palestinian's will to resist.
This not only can't be done, it'll justify absurd amounts of violence against the Palestinian peoples, as is evident right now.
The way out is to recognize Hamas and negotiate with it, is that or genocide.
@lukevanin@argumento@palestine el projecte del #sionisme té moltes més dècades que #Hamàs.
Si es vol una negociació racional és imprescindible suprimir el sionisme i tots els seus assoliments.
"Un patriotisme à toute épreuve qui s’explique notamment par « les menaces d’attaques constantes auxquelles est confronté Israël », précise Héloïse Fayet, chercheuse au Centre des études de sécurité de l’Institut français des relations internationales #Ifri. Selon elle, l’armée est devenue une institution « qui met tout le monde d’accord » et qui représente « un haut lieu de sociabilisation avant les études supérieures pour les jeunes »."
"Le contrôle des financements auxquels ont accès les Palestiniens constitue un enjeu majeur depuis l’époque du mandat britannique sur la Palestine. Les organisations sionistes jouissaient alors de l’importante manne financière pourvue par les diasporas juives d’Europe et des États-Unis, tandis que les forces coloniales françaises et britanniques réprimaient les levées de fonds qui s’organisaient en soutien à l’insurrection palestinienne dans les régions arabes voisines sous leur contrôle. En parallèle, l’administration mandataire entreprenait d’aider — sans grande efficacité — les paysans palestiniens repoussés par la colonisation comme un moyen de tarir les foyers de révolte qui se multipliaient.
Après la Nakba en 1948, l’Office de secours et de travaux des Nations unies pour les réfugiés de Palestine dans le Proche-Orient (UNRWA) devient le principal pourvoyeur de l’aide humanitaire dispensée aux réfugiés palestiniens, installés dans des camps dans l’attente de leur « rapatriement »."
Christophe Lemoine, le porte-parole adjoint du ministère des Affaires étrangères : « Je voudrais apporter un éclaircissement sur le sujet des soldats franco-israéliens engagés dans l’armée israélienne et à ce sujet je voudrais notamment rappeler que la justice française est compétente pour reconnaître des crimes commis par des ressortissants français à l’étranger, y compris dans le cadre du conflit en cours »